Cours d’informatique

Je sonne… un peu fébrile, un peu nerveux à l’idée de la voir.
Elle prend son temps pour venir ouvrir, j’ai peur qu’elle ai changé d’avis et n’ose pas. Alors que je fais mine de partir, j’entends la porte s’ouvrir.

 

Je me présente: Laurent, 33 ans, châtain foncé aux yeux bleus, 1m90 pour quelques kilos de trop. Elle, Vanina, 42 ans, brune, sulfureuse et voluptueuse mais diablement sexy et envoûtante. On se connait que depuis quelque temps. Il y a toujours eu entre nous une sorte d’attirance électrique indescriptible mais nos situations familiales respectives ont toujours freinés nos pulsions. Par ce mercredi matin de novembre, elle m’a demandé de passer la voir pour lui donner quelques cours sur l’utilisation d’internet. J’ai de suite accepté sans véritable idée derrière la tête. Elle m’a assuré qu’elle non plus n’en avait aucune. Voilà le décor planté.

 

Leçon d’informatique

C’est donc fébrile que je me retourne vers la porte et je la vois, là dans l’entrée de sa maison. Son mari travaille et ses enfants sont à l’école. Nous avons donc presque 3 heures pour nous concentrer sur notre travail. Elle s’est habillée de façon classique mais je sens qu’elle a quand même fait un effort. Elle me sait terriblement attire par ses formes et spécialement par sa poitrine généreuse. Donc, elle l’a mise légèrement en évidence. Puis, elle m’invite à entrer, je la suis à l’intérieur de la maison. Un rapide coup d’œil me fait remarquer une maison en ordre décorée avec goût.

Ensuite, elle m’invite à m’asseoir dans le salon. Elle a l’air nerveuse et je ne peux cacher la mienne. Même si j’essaie de la dissimuler en alimentant une conversation somme toute banale concernant la décoration de la pièce. Elle me propose une café que j’accepte avec plaisir. Nous nous installons à la table de la salle à manger juste à côté afin de nous mettre au travail. Elle m’explique que ses connaissances internet sont relativement limitées et qu’elle souhaiterait pouvoir améliorer sa façon de faire des recherches.

Je souhaite la voir à l’oeuvre afin d’évaluer son niveau. Elle s’installe donc sur la chaise face à l’ordinateur, je reste debout derrière elle.
Pendant qu’elle pratique quelques exercices, je laisse mes yeux vagabonder et je ne peux m’empêcher de regarder sa poitrine. Sa blouse est lâche et me laisse parfaitement voir la naissance de ses seins. Mon sang ne fait qu’un tour et je pense qu’elle a remarqué mon émoi et la bosse qui commence à se former dans mon pantalon. Ne faisant mine de rien, elle continue à tapoter sur son clavier.

 

La question qu’elle me pose après commence à susciter ma curiosité. Elle me demande comment elle peut faire pour surfer sur certains sites sans que son mari ne s’en rende compte. Ma question est toute naturelle : “Quels genre de sites veux-tu visiter ?”.
“Je ne sais pas, des sites de voyages ou alors des sites pour télécharger des séries par exemple.”

Je lui montre donc un site de téléchargement ou j’ai mes habitudes… Mais son œil est accroché par les publicités particulièrement explicites qui jonchent ce genre de site. Je lui explique que c’est en effet les risques de naviguer sur ce genre de site en surfant sur des sites “illégaux”. Elle n’a pas l’air de s’en offusquer et nous continuons notre discussion. Quelques minutes plus tard, alors que les pop-ups s’amoncellent sur l’écran faisant la part belle à des sites de plus en plus coquins, elle me pose la question si je m’aventure souvent sur ce genre de site. Notre complicité détend tout de suite l’atmosphère gênée qui s’installe et je la met à l’aise directement en lui disant que, oui, de temps en temps,  je vais jeter un œil lubrique sur certains sites pornographiques.

Coquin et complice, je lui propose de lui montrer… ce qu’elle accepte directement. La température vient de monter et j’ai vraiment beaucoup de mal à cacher la bosse qui maintenant déforme mon pantalon. Le fait de me pencher sur le clavier met en contact mon entrejambe avec son coude et son bras. Elle ne fait aucun geste pour se dégager et a même tendance à accentuer la pression.Prétendant une grande soif, elle quitte sa chaise et va dans la cuisine. Ce que je vis à son retour me fit asseoir. Elle venait de retirer son gilet et était maintenant avec une blouse légèrement transparente qui lui moulait particulièrement ses énormes seins. Son regard se posa sur la bosse de mon jean.

Elle me dit: “C’est moi qui te met dans un état comme ça ? n’oublie pas que nous avions convenu que ce serait sage et uniquement pour le travail que nous nous voyons ce matin”. “Tu ne fais rien pour m’aider en te promenant avec une blouse comme ça ! Tu connais mon faible pour les seins et tu viens me les mettre sous le nez”. Embarrassée, elle poursuit: ”Si tu veux te calmer, va aux toilettes et reviens après afin que nous puissions continuer notre petite formation”.

 

J’ose sur le ton de l’humour un “Tu ne veux pas me donner un coup de main ?”. Se prenant au jeu, elle me lance “je te montre mes seins, mais pas touche”! Ni une ni deux, elle ôte sa blouse et me montre ses deux magnifiques seins, elle me dit “Vas-y, sors ton engin et montre moi vraiment dans quel état tu es”. Je détache mon jean et sors mon sexe de sa prison. J’ai rarement bandé aussi fort et mon gland est particulièrement rouge. Elle semble désemparée par la vue de mon sexe et commence à se caresser la poitrine en gardant les yeux fixes sur mon sexe tendu à l’extrême. “Tu veux la toucher ?” je tente de la faire craquer… “Non, mais si cela te va, je voudrais bien me toucher avec toi…. “.

 

 

 

Elle m’installe dans un fauteuil et se place en face de moi, retire son pantalon et me montre sa culotte. Une belle tache humide est présente à l’endroit de son sexe. “Comme tu vois, moi non plus je ne reste pas insensible ! je suis trempée…” Écartant sa culotte et ses cuisses, j’avais enfin une vue imprenable sur son sexe sur lequel quelques poils éparses luisaient de mouille. “Elle te fait envie; n’est-ce pas ?” me dit-elle en glissant deux doigts au fond de son vagin. Je balbutiai une réponse tout en empoignant mon sexe et commençait un frénétique va et vient. Son regard se perd dans le vide et sa langue passe sur ses lèvres me faisant comprendre qu’elle désire plus que tout mettre mon sexe dans sa bouche.

N’en pouvant plus, j’ôte ce qu’il me reste de vêtements et me lève pour aller dans sa direction. Je me place a genoux dans le canapé en mettant mon sexe à hauteur de son visage. “Petit salaud ! “ me dit-elle, “Tu veux que je te la suce !”. “Non” je lui réponds “je veux que tu caresses ton visage avec elle mais tu ne peux pas la toucher avec ta bouche ou avec ta langue”. Elle caresse toujours son sexe dans un bruit obscène et absolument stupéfiant. Ne me quittant pas des yeux, elle passé ses doigts trempés sur ses tétons et ensuite les lèche pour me donner encore plus envie d’elle.

Elle devient provocante et cochonne… Ne contrôlant plus rien, elle embouche mon sexe avec voracité et commence une fellation comme rarement j’en ai eu ! Notre mini réunion de travail vient de basculer… et je sens que plus rien ne pourra nous arrêter ! Délaissant son sexe, elle prend le mien dans sa main et me suce avec vigueur enroulant sa langue autour de mon gland et faisant glisser sa main tout le long de ma hampe. Ma main ne reste pas inactive et je commence a caresser ses seins que je désire depuis tant de temps. Je passe sur ses tétons que je m’emploie à faire pointer. Il ne faut pas longtemps avant que les premiers gémissements ne se fasse entendre.

Elle est magnifique, offerte, ma main descend vers son sexe et se fraie un chemin vers cet orifice trempé et suppliant de l’attention. Un puis deux puis trois doigts entre en elle, elle est comme dingue et son premier orgasme se déclenche. Son bassin se soulève et elle est prise de tremblements incontrôlables, la scène est surréaliste et terriblement excitante. Vanina reprend ses esprits, me jette un regard, je garde ce regard en tête, un regard fiévreux qui ne demande pas d’explication. Comme si cet orgasme est le premier qu’elle a eu depuis longtemps.

Ne me lâchant pas la verge, “Lèche-moi” me dit-elle, je n’attends que ça. Je descends mes lèvres le long de son corps, nous échangeons notre premier baiser, il est langoureux et terriblement excitant, ma bouche continue et s’attarde longuement sur ses seins et ses tétons. Mon chemin ne s’arrête plus et je plonge ma tête et ma bouche entre ses cuisses… Elle est trempée et ma langue virevolte le long de son vagin jusqu’à son clitoris tendu. Ma langue entre et sort de son vagin comme si c’était mon sexe. Elle place ses deux mains sur ma tête et me caresse les cheveux pendant qu’elle accentue la pression de ma bouche contre son sexe. Elle est déchaînée et se laisse aller à un deuxième orgasme.

De son côté, elle ne laisse pas mon sexe en plan et reprend les choses en mains et surtout en bouche. Elle s’applique à me rendre de la vigueur ce qu’elle fait admirablement bien. Puis, elle se lève, prend mon sexe dans sa main et m’emmène dans la salle à manger.Là,  elle se couche sur la table me regarde et me dit “Prends-moi ! Baise-moi!”. Je guide mon sexe à l’entrée du sien, béant et coulant, sa mouille coule le long de ses cuisses. J’enfonce les deux ou trois premiers centimètres, elle gémit… je continue et m’enfonce en elle avec facilité.

 

 

Je commence des vas et vient lents et profonds, ses deux mains caressent ses seins qui balancent au rythme de mes coups de bassin. Elle gémit de plus en plus fort, elle vient de jouir pour la troisième fois. Après 5 minutes de ce traitement, je sens que mon éjaculation n’est pas loin, elle se lève, mets ses deux mains sur la table, me tourne le dos et me présente sa croupe. La vue de sa chatte offerte qui coule sur ses cuisses me rend dingue. Poussant mon sexe au fond de sa chatte, je recommence le même traitement avec la même vigueur de plus en plus vite. Elle semble comme absente, son corps n’est qu’un orgasme duquel elle ne semble plus redescendre…
L’agrippant par les flancs, mes coups de butoir sont de plus en plus profonds. Je sens que je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme !

Tout à coup, elle s’arrête, agrippe mon sexe, le dirige vers son petit trou. Elle me dit “Prend moi par là, c’est mon cadeau pour toi. Je veux que tu sois le premier”… Me sentant particulièrement honoré de ce cadeau, mon doigt récolte un peu de mouille et je commence lentement à lubrifier son petit trou qui s’ouvre sous la pression de mon pouce que je rentre lentement. Lorsque je la sens prête, je dépose mon gland contre et le pousse doucement.
Celui-ci entre facilement, mais je sens qu’elle se raidit. Alors, je lui demande si elle a mal :“Oui, mais la sensation est géniale, continue, pousse la bien au fond, je veux sentir que tu me remplis”.

Je n’en peux plus, je sens la délivrance proche… “Je vais jouir” lui dis je, “Pas encore” me dit-elle. Alors, je me retire de son derrière. Elle m’emmène dans sa chambre, se couche sur son lit. Ses yeux ne quittent pas les miens… Elle écarte les jambes et m’invitent à retourner en elle. “Je veux te voir jouir, je veux que tu jouisses en moi, au fond de moi, tout au fond, dépose ta semence en moi, je veux sentir ton sexe palpiter en moi et se déverser.”

S’en suit le baiser le plus langoureux et chaud que je n’ai jamais eu. Comme si nous venions de tomber subitement amoureux… Mon sexe entre naturellement en elle. Elle me susurre “Laisse-toi aller, viens…”. Ses jambes encerclent ma taille, je ne peux pas m’échapper.  Deux ou trois aller-retour suffisent et je déverse en elle un flot incessant de sperme… L’orgasme est énorme, j’en tremble de tout mon corps. Cela a semblé naturel….

Elle me regarde encore et me parle tout bas “Merci, je t’aime!”
Nos yeux vont directement se fixer sur l’horloge. Le temps nous est compté. Un regard complice nous fait réaliser que nous avons encore du temps devant nous.

Retrouvez tous les récits de Laurent ici.

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