Règles de colocation – Episode 34

De gré ou de force partie 3

Jeanne osa le tout pour le tout. Elle s'approcha de la vendeuse et lui murmura quelque chose à l'oreille. La vendeuse allait faire une remarque, mais fini par écouter et sourire à ce qu'elle entendais. Un petit hochement de tête et un long baiser sur la bouche firent comprendre à Jeanne que sa proposition était acceptée. Souriante, elle se recula et se mit en position.

La vendeuse se plaça derrière la cage et de ses mains gantées caressa le corps de Zoé à travers les barreaux. Zoé sursauta à ce contact, mais fini par danser sous les mains de la vendeuse pour profiter au maximum de ces contacts si doux et sensuels. Les doigts commencèrent à descendre entre ses jambes, et titiller ses grandes lèvres.

Zoé se laissa tomber sur la cage qui la maintenait toujours à quatre pattes, tellement cette sensation était bonne et montait en elle. La vendeuse s'approcha derrière la cage, entre les jambes de Zoé puis enfonça lentement le gode dans son vagin. Zoé mordit sa lèvre inférieure pour ne pas gémir ou crier trop vite. Ses yeux brillaient de mille étoiles et de larmes de joie d'être enfin visitée. Le gode arrivé au fond, la vendeuse repartie en arrière sans sortir et recommença à avancer lentement. Elle fit cela plusieurs fois toujours en lenteur et caressant les fesses de Zoé. Zoé avait baissé la tête fermant les yeux pour se laisser totalement envahir par ses émotions et pulsions sexuelles. Un gémissement provenant du plus profond de sa gorge commençait à se faire entendre. C'était plus comme un murmure que comme un cri étouffé.

La vendeuse accéléra le rythme, sans prévenir, cela fit crier Zoé de surprise et de joie. Que c'était bon, malgré son enfermement, cette pénétration était une réelle libération pour elle. Son corps semblait flotter au centre de la cage. Avec le mouvement ses seins venaient se frotter sur les barreaux en dessous de son torse. Ils étaient excités, faisant poindre ses tétons. Zoé ne retenait plus ses cris de joies, en cadence avec les coups de reins de la vendeuse. De grosses larmes coulaient sur ses joues tellement elle était submergée d'émotions.

L'orgasme final arriva. Zoé cambra son corps tirant ses fesses en l'air, poussant son ventre vers le bas et levant sa tête le plus haut possible. Sa bouche était grande ouverte, comme ses yeux. Aucun son ne sortait, comme si tous ses muscles étaient tendu empêchant le passage de l'air entre les cordes vocales. Puis, tous les muscles lâchèrent et Zoé se retrouva tenue en position uniquement par la cage. Après quelques secondes, elle reprit son souffle.

"Merci Maîtresse."
"Tu me remercieras après, ce n'est pas fini."
"Quoi ?"
"Toi aussi, tu voulais que je m'occupe de toi, non ?"

La même technique qu'avec Jeanne. Zoé n'y avait pas pensé, mais la voilà également prise à son propre jeu. Gardant la tête basse, elle répondit lascivement :

"Oui Maîtresse, c'est juste."

Et Zoé sentit les mains de la vendeuse revenir vers son entrejambes. Cette fois, ils s'occupaient plutôt de sa rondelle que de son vagin.

à suivre...

Retrouve le récit de Legras ici.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.