La semaine passa à toute vitesse pour elle. En arrivant éreintée le vendredi soir après les cours, elle ne comprenait pas le regard malicieux que Zoé posait sur elle depuis son arrivée. Après le repas, que Zoé prépara étonnamment tôt Jeanne allait se poser sur le canapé.
"Hop hop hop, dans ta chambre et toute nue."
"Hein quoi ?"
"Tu as oublié ta sanction ?" Et elle lui montra les coches sur le frigo.
"Heu non non." Et elle partit dans la chambre, son réveil affichait 19h50, encore 10 minutes pour se préparer.
Zoé finissait la vaisselle pendant ce temps et à 20h00 pile elle entra dans la chambre de Jeanne, avec le sac d'accessoires à la main.
Jeanne s'était déshabillée, cachant sa poitrine d'une main et son pubis de l'autre. Son teint était légèrement rougit par la honte, sa tête penchée en avant rentrée dans les épaules, ses cheveux étaient passé devant pour certain lui cachant une partie de son visage. Dire que c'est elle qui avait proposé cela, qu'elle idée !
"Allez mains dans le dos."
"Mais tu va me voire nue."
"Tourne-toi vers le mur alors."
La réponse semblait logique, et elle se tourna face au mur, et plaça ses mains dans le dos. Elle fut surprise de ne pas avoir les poignets attaché mais les coudes, ils étaient légèrement tiré en arrière l'obligeant à bomber le torse. La corde fut passée autour de ses épaules et finalement elle vint lier ses poignets ensemble. Se sentir ainsi offerte et vulnérable la mettait dans tout ses états, son entrejambe commençait déjà à perler. Quand elle ne sentit plus aucun contact avec Zoé elle allait se coucher sur le lit, mais fut retenu :
"Tu fais quoi ?"
"Bah me coucher pour attendre la fin de la sanction."
"Je n'ai pas fini."
"Mais je suis déjà entravée."
"On a pas défini à quel point on pouvait être entravée."
Elle sentait le sourire et la jubilation dans le paroles de sa coloc. Et se remit debout face au mur. Une nouvelle surprise l'a pris, lorsqu'elle sentit une corde passer autour de sa taille puis entre ses jambes, avant d'être bloquée par la corde autour de la taille.
"Mais tu fait quoi ?!?"
"Tatata, c'est moi qui sanctionne, toi tu te tais. Sinon c'est bâillon."
Le souvenir du bâillon la fit frémir, pas que ce n'était pas agréable. Et vu son état, elle allait fondre de plaisir si elle le lui installait. Elle se tût. La corde fût tirée venant appuyer sur les lèvres de son entrejambe. La corde pendait devant Jeanne, Zoé la prit et la tirant vers l'obligea à lui faire face. Jeanne allait protester mais elle ne voulait pas être bâillonnée.
"C'est bien ça peut servir de laisse." Rigola Zoé et elle fit le tour de la chambre tout en tirant Jeanne derrière elle. Qui la suivit par obligation, les seins rebondissant à chaque pas, les bras tendus dans le dos, ses cheveux dansaient dans son dos et maugréait intérieurement. Elle tentait de suivre le rythme pour éviter de sentir la corde s'immiscer dans ses parties. S'arrêtant Zoé fit volte face, faisant face à sa colloque et amie et la voyant entièrement nue pour la première fois depuis longtemps.
"Oh, tu es magnifique tu sais ?"
Elle ne la toucha pas, mais semblait avoir vu l'humidité entre ses jambes. Elle la conduisit vers le lit et la fit s'asseoir au bord, après l'avoir recouvert d'un grand linge. S'agenouillant devant elle, elle lui attacha les chevilles ensemble, puis le bas des cuisses (juste au dessus des genoux) en prenant soin de faire passer la corde qui lui servit de laisse entre les jambes une nouvelle fois.
Elle voyait le regard interrogateur de Jeanne, mais ne répondit à aucune question qu'elle pouvait se poser. Une fois Jeanne bien attachée, elle la poussa sur le lit, ne pouvant se rattraper Jeanne tomba de tout son poids sur le matelas.
L'aidant à monter ses pieds, elle la tourna pour qu'elle soit couchée sur le ventre, sa poitrine fût écrasée. Zoé plia ses jambes et passa la corde qui était entre les jambes de Jeanne derrière celle attachant ses chevilles, tira dessus et vint l'attacher à celle se situant vers les coudes.
Plus Jeanne essayait de tendre ses jambes, plus la corde appuyait sur son entrejambe. Elle se débattait légèrement mais elle ne pouvait que rouler sur elle même, avec le risque de tomber du lit. Zoé la regarda un moment, puis régla le réveille pour qu'il sonne à 23h00.
Le regard de Jeanne était entre la fureur et la supplication de la libérer. Jamais elle n'aurait pensée que sa coloc soit aussi douée avec des cordes. Zoé la fit tourner lentement pour la mettre face au mur, Jeanne ne comprenait pas pourquoi. Lorsqu'elle vit le bâillon devant son visage elle protesta :
"Mais je me suis tut, j'ai été obéissante."
"Oui, mais je n'ai pas envie de t'entendre te plaindre par la suite. Allez ouvre !"
"Mais..."
Zoé profita de la bouche ouverte pour y introduire le bâillon et le ferma bloquant les cheveux en arrière. Elle remit Jeanne sur le ventre, dans un "Humpf". Zoé descendit lentement ses mains le long des bras de Jeanne pour vérifier si les attaches étaient solide.
Ainsi attachée et bâillonnée Jeanne n'était plus elle même, son entrejambe était en feu, mais pas à cause de la friction de la corde, d'ailleurs elle la sentait se mouiller petit à petit. Elle se redressa, et vit Jeanne la regarder suppliante depuis son lit, ses cheveux recouvrant en partie son dos et le linge autour d'elle.
"Tu es encore plus magnifique comme cela. Mais avant de partir encore quelque chose."
"Mmhhh ?"
Zoé vint placer un bandeau sur ses yeux la plongeant dans le noir, elle allait passer 3 heures en hogtied bâillonnée et les yeux bandés, impossible pour elle de savoir combien de temps serait passé et combien il en restait. Seul ses oreilles lui servait à savoir ce qui se passait, le bruit de la porte qui se ferme et étonnamment la clef qui se tourne dans la serrure, pourquoi elle ne risquait pas de s'échapper ?
Quelques minutes plus tard la sonnette retentit...
Très beau texte..
Personnellement c est nul
@Ghislaine et @DIDIER COIFFARD Merci pour votre retour. Ghislaine qu’est-ce que vous n’aimez pas ? Afin que je puisse m’ajuster par la suite.