10 ans d’amour – Episode 09

La tonte

Après quelques secondes pour que ses yeux s’habituent à la luminosité ambiante, Stéphane commençait à découvrir la salle qui l’entourait. Premièrement, il examina ses poignets, toujours accroché au-dessus de sa tête, bras écartés. De larges bracelets de métal, à peu près de 10 centimètres, lui enserrait les avant-bras. Ils étaient fixés contre ce X en métal, sans attache visible. Il lui était impossible de baisser la tête pour examiner ses pieds, son collier étant toujours attaché au mur par un mousqueton.

Tournant la tête sur la droite, il vit cette armoire métallique. Appuyée contre le même mur que le X, la porte était ouverte, mais impossible de savoir ce qu’elle contenait. Il longea du regard le mur à sa droite. Il était vide, aucun meuble n’y était appuyé ou aucun autre accessoire. Tout carrelé de blanc, seul la porte dans le coin opposé occupait ce mur. Le mur en face de lui était différent. Le carrelage était noir et le sol aussi sur un peu plus d’un mètre de large.

Suspendue à ce mur noir, une grosse horloge numérique affichait en grand chiffre rouge l’heure actuelle, “18h20“, voilà d’où provenait cette lueur rouge à son arrivée. À côté de l’horloge une haute armoire noire attendait d’être ouverte. Dans le coin opposé à la porte, des barreaux étaient installés, derrière il pouvait deviner un matelas noir posé sur le sol. Apparemment, une cellule de prison était présente.

Il continua ses explorations visuelles sur la partie gauche de la salle. Une table métallique trônait proche de la limite entre les carrelages blanc et noir, il était possible d’en faire le tour. Stéphane n’arrivait pas à déceler d’autres détails sur cette étrange table. Il poursuivit de tourner sa tête et vit dans le dernier coin à sa gauche une sorte de cabine de douche, fermée par 2 parois de verre.

À l’intérieur aucun pommeau, ni même d’évacuation. Seul une barre métallique suspendu pendait au milieu de la cabine et au sol un paillasson en caoutchouc noir, comme ceux à l’entrée des allées d’immeuble. Pour finir, il vit à côté de lui un chariot médical en inox, avec quelques outils simples, et divers tubes, mais impossible d’en déceler le contenu.

Il finit par regarder à nouveau devant lui et son regard se fixa dans celui d’Alexia, ses yeux verts lui avaient manqué. Et son nez fin, en forme de trompette lui donnait un regard et un visage aiguisé et sévère.

“C’est bon tu es avec moi ?”

Sa voix venait de rompre le silence, Stéphane ne lui répondit qu’en hochant la tête. Elle lui saisit un téton et commença à le tourner.

“Je n’ai pas bien entendu.”

Dans une grimace de douleur, Stéphane réussit à lui répondre sans crier.

“Oui Maîtresse, je suis avec vous.”

“Bien, alors passons à la suite.”

Elle lui lâcha le téton et prit dans l’armoire une large ceinture en cuir. Elle vint l’installer au niveau du ventre de Stéphane. Cette ceinture ne lui coupait pas la respiration, mais lui écrasait suffisamment le ventre pour qu’il ne puisse pas respirer normalement. Seulement le haut de ses poumons se gonflait et il devait respirer fortement pour pouvoir les remplir entièrement.

Une fois son ventre aplati, elle sortit de l’armoire une tondeuse pour la barbe. Et le plus naturellement du monde elle lui saisit son sexe et commença à lui tondre ses poils pubiens. Lorsqu’elle lui saisit le sexe, Stéphane se rendit compte qu’elle n’était pas main nue, elle portait des gants, probablement en latex.

Ce contact fini de tendre au maximum sa verge. Elle s’en amusa et par moment faisait faire quelque va-et-vient à sa main le long de la hampe. Ces mouvements mixés à la vibration de la tondeuse excitait au plus haut point Stéphane, qui faillis éjaculer quelques fois. Mais elle s’avait quand s’arrêter pour que cela n’arrive pas.

Lorsque la tondeuse s’arrêta, elle s’accroupit devant lui et sa bouche se trouvait juste devant son membre bien tendu. Il sentait, son souffle chaud dans la zone fraîchement tondue.

“Bien c’est déjà mieux, mais pas encore assez lisse pour moi.”

Elle se releva et il la vit prendre un tube et appliquer son contenu sur ses parties génital. Elle s’essuya les mains sur un petit chiffon. Venant se coller à lui par sa gauche elle lui présenta la tondeuse devant le visage.

“Bien en attendant que la crème agisse, je vais m’occuper du haut maintenant.”

Et elle commença à lui tondre proprement les quelques poils sur son torse et surtout fini par couper sa fine moustache.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.