C’est par une belle journée ensoleillée que je me rends chez Steve.
Je descends l’escalier quatre à quatre en sentant l’excitante tension de mes jarretelles sur mes cuisses. Mon corsage échancré découvre mes seins lourds et fermes qui se balancent au rythme cadencé de mes talons aiguilles sur l’asphalte.
J’éprouve un malin plaisir à provoquer les hommes quand je les croise. Je serre les jambes en marchant lentement à petits pas pour avoir une démarche féminine plus fluide et un meilleur équilibre sur mes escarpins.
J’accentue le balancement de mes fesses engendré par mes talons aiguilles en faisant virevolter ma jupe pour laisser entrevoir mes jarretelles.
Le vent chaud qui s’engouffre entre mes cuisses me fait ressentir des sensations que les femmes connaissent bien… Je poursuis mon chemin en cambrant les reins pour attirer l’attention sur mes fesses.
Puis, je m’arrête devant une boutique de mode en relevant ma jupe pour ajuster mes bas. Lorsque je tends mes jarretelles sur mes cuisses gainées de nylon, je ne peux m’empêcher de sourire en voyant le visage plein de désirs d’un de mes admirateurs se refléter dans la vitrine.
Une femme m’observe quelques mètres plus loin. Se doutant intuitivement de ma vraie sexualité, elle me considère d’emblée comme une rivale. Je lui souris en montrant que je ne suis pas indifférente à son charme. Déstabilisée et troublée, elle ne sait plus quelle attitude adopter.
J’arrive enfin chez Steve qui m’attend à la porte de son club.
– Tu me fais bander dans cette tenue, s’exclame-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
– Je suis déjà en retard, je m’occuperai de toi plus tard, lui dis-je d’un regard prometteur.
Mais mon corps trahit mes paroles en s’offrant à ses irrésistibles caresses.
– Viens, tu en as autant envie que moi, me dit-t-il en m’entraînant de force dans son salon.
A peine a-t-il refermé la porte qu’il fait jaillir son sexe de son pantalon.
– J’ai une folle envie de te sauter, me dit-il rouge d’excitation.
– Laisses-moi faire, lui dis-je en m’approchant de lui les seins dressés et la chatte en avant comme une fille qui a envie de faire l’amour.
Pressée par le temps, je le pousse sur son divan en m’asseyant à califourchon sur son ventre. Puis, je retrousse ma jupe pour lui dévoiler ma guêpière et mes bas ornés de jarretières. Les yeux brillants de désir, Steve plonge sa main dans mes dessous pour retirer mon fémidom.
– Je ne veux pas que tu utilises un préservatif avec moi.
Très impatiente de rencontrer mes nouvelles amies, je lui accorde ce privilège. Je commence par le masturber tout en caressant la zone sensible de son périnée.
Puis, j’écarte la fente de ma culotte en m’empalant lentement sur sa verge. Le visage congestionné, Steve regarde son sexe disparaître dans ma chatte.
Je me sers du poids de mon corps pour initier de puissants va et vient en contractant mes muscles internes sur sa queue. Je l’entends gémir de plaisir lorsque j’entame de lentes bascules du bassin d’avant en arrière qui provoquent de fortes tensions sur son frein.
Sans le quitter des yeux, je suis la montée de son désir pour trouver le bon rythme et l’achever rapidement. J’entoure la racine de sa queue avec l’un de mes bas en guise d’anneau pénien.
Le souffle de Steve s’accélère quand je le chevauche en lui malaxant les bourses. Lorsque je sens sa verge tressauter en moi, je tourne lentement mes fesses sur son bâton de chair qui me sert de pivot.
Il jouit longuement dans une succession de spasmes qui me désarçonne à moitié. A mon tour, je me sens défaillir en sentant ses puissants jets de sperme fuser dans mon anus. Lorsque je me lève, je ne peux m’empêcher de sourire en voyant une épaisse coulée de sève ruisseler à l’intérieur de mes cuisses.
– Tu m’as mis la dose, lui dis-je en m’épongeant l’entrejambe.
Toujours tenaillée par le désir, j’ai une envie folle de le violer en le voyant allongé à moitié nu sur son divan. Prise par le temps, je me fais une raison en me disant que d’ici peu, je pourrai m’en occuper.
Mes bas ayant filés lors de nos jeux, je sors une nouvelle paire de mon sac à main en les accrochant à mes jarretelles sous le regard brûlant de Steve. Je le quitte rapidement en lui demandant de m’envoyer sa première protégée dans la chambre «chevalier d’éon».
à suivre…